Marathon des Coteaux / Pins Justaret

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 Il faisait 12 degrés seulement, ce dimanche 14 septembre pour le traditionnel marathon des coteaux à Pins-Justaret. Les courageux de ce rendez vous matinal étaient : Jean-Claude, Laurent, Bruno, Remy et votre serviteur , tous présents pour un départ dès 8 heures sur le circuit des 45 km. Une collation prise, le pointage effectué, la trace débute le long des berges de l’Ariège sur un sentier  ludique avec ça et là de beaux nids de poules gorgés d’eau. Par un ciel menaçant, nous prenons rapidement un rythme soutenu et le tracé, toujours en bordure du fleuve, nous entraîne jusqu’au Vernet ou nous enjambons l’Ariège vers Venerque. Là, les choses sériieuses commencent par une belle grimpette ou plutôt un portage bien physique. Avant d’arriver à la hauteur de Clermont le Fort, nous bifurquons vers les coteaux ou nous enchaînons alors un chapelet de vallons par de singles rapides en bordure de champs et en sous bois. Le parcours est superbe, il manque juste quelques rayons de soleils … dommage ! Juste avant le premier ravitaillement aux abords de Corronsac, le circuit nous offre un moment intense de pur bonheur dans un méga single descendant avec de beaux virages relevés très ludiques. Le pied, quoi ! Quelques verres de Coca et de tartines de paté plus tard, nous reprenons la trace qui nous amène vers Rebigue puis Vigoulet aux portes de Vieille Toulouse. Le tracé est toujours aussi sympa, glissant par endroit mais peu boueux et donc très roulant. Nous nous ravitaillons une deuxième fois au kilomètre 31 avant de redescendre vers Lacroix Falgarde. Nous retrouvons les bords de l’Ariège et un dernier tronçon bien glissant avant de revenir sur Pins Justaret après 50 km …. et 3h42 de pédalage. Heureusement, le dernier ravitaillement de l’arrivée est à la hauteur de nos efforts entre saucisses grillées arrosées d’une bérataise , bière du terroir !
Uns superbe randonnée, bien organisée et un tracé tip top bien renouvelé après ces deux dernières années. Chapeaux aux organisateurs !!!!      
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Phoebus Bike 2008

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 C’est sous un ciel voilé, matinal ce dimanche matin que nous nous sommes retrouvés , Bruno, Jean-Claude et moi-même sur le parking du casino de Gruissan pour cette 4éme édition de la Phoebus Bike. Inscription rapide sans collation du matin, c’est plutôt rare pour une rando mais assez habituel à Gruissan, dommage … La rando s’annonce hardue avec 40 km dans la clape sur un nouveau tracé qui promet ! Sans attendre le départ officiel, nous prenons la trace du parcours vers la vieille ville qui s’éveille doucement. Le début est plutôt roulant avec le tour du lac de Gruissan et le passage sur la digue avant de rejoindre les singles de la Capoulade. Le terrain devient brusquement plus accidenté, pierreux à souhaits avec des passages en sous bois ou nous roulons sur des tapis d’épines de pins hyper sèches, ça passe… Après le passage sous la route, nous prenons la direction de la fontaine des chevriers ou après une montée et descente infernale, le premier ravitaillement nous attends. Jean-Claude, pourtant devant depuis quelques kilomètres, est introuvable au ravitaillement. Nous l’attendons en vain et décidons de reprendre la piste.Nous enchaînons alors de grandes arabesques dans les singles de la clape en passant au pied de la chapelle d’Auzil et des nombreux sentiers aux alentours.
C’est dans un passage assez roulant et sans réels dangers que je chute assez violemment sous les yeux de Bruno, hilare. Plus de peur que de mal, un gros hématome à la cuisse, il faut repartir avant que cela refroidisse ! Le tracé annoncé difficile se confirme et nous alternons singles ludiques, empierrés et en devers avec de belles relances dans des paysages superbes. Après la montée infernale vers la vigie, nous bifurquons sur la droite avant de traverser une portion boisée inédite jonchée de troncs d’arbres en travers du chemin. Heureusement, l’organisation ayant confectionné des petites passerelles en bois, ce secteur technique et surtout ludique arrive à point nommé juste avant le second ravitaillement tant attendu. Coca, pâté local,… bref, on fait le plein avant de repartir pour le dernier tronçon dans la garrigue. Enfin, l’arrivée est en vue et nous retrouvons le parking et … Jean-Claude qui, égaré dans la clape,  est rentré prématurèment de son escapade. Pour nous, 03h50 de pédalage, quelques 900 m de dénivelés positifs et 40 km au compteur de cette dernière grande escapade estivale dans le narbonnais.

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