Catégorie : Dans le coin

Les Verts Luisants se suivent et ne se ressemblent pas forcément… Ainsi, après deux précédentes éditions marquées par des nocturnes quasi estivales, ce samedi, la pluie s’est franchement invitée durant une bonne partie de la journée et de la nuit accompagnée par des températures en baisse …  Cette année encore 3 équipes sont engagées : « les Pescajons », les « Afonjuskoboucon » et enfin les « Darks Cadors » qu’on ne présentent plus ! Après la mise en forme des roadbooks et les préparatifs d’avant ride, nous passons aux choses sérieuses coté apéro exotique avec le Damoiseau (Bologne) ramené de Gwada par Bruno, les pots de souskays des copains martiniquais, autre boudin, quiche, cake … On s’attarde, ça bavarde entre les rasades et puis hop ! Faut s’activer si on ne veut pas louper le départ. Les pescajons avec Bruno, Nico, Ivan et Jules ouvrent le bal, nous les suivons à deux minutes avec Steph, Serge, Martin et Renaud pendant que les Darks poursuivent tranquillou l’apéro…

Ca démarre costaud avec la fameuse côte en bordure du champ qui nous ramène sur Bouconne. De glissades en bouchons nous retrouvons toute la troupe en haut sous les gouttes. Renaud devant aux commandes, Steph qui se bat avec son compteur, Galipo qui s’agace avec le roadbook de Fred et le reste de la meute derrière… On passe le grand fossé avec un petit portage aidé (merci l’orga), puis nous prenons nos marques avec les diapos qui défilent et les compteurs à remettre à zéro. les djeuns sont d’attaque avec Martin et Jules qui découvre le roulage de nuit. Par intermittence, la pluie s’affole puis se calme. Pas mal de discussions durant le guidage mais peu de jardinage, il est vrai qu’avec 3 roadbooks au total, difficile de se perdre ! Le roulage est bon, le sol étant encore bien dur et peu gras (pour l’instant). C’est d’ailleurs une météo idéale pour les nombreuses salamandres présentes et bien à l’aise dans cette humidité ambiante. Nous retrouvons rapidement le premier ravito au parking Saint Louis pour une petite pause au sec. Et nous revoiloo sur nos roadbooks (diapo 41) pour la suite des opérations. Ca tournicote, vire à gauche, puis à tribord,  ça monte, revire encore avec parfois certaines diapos ou visiblement l’orga s’est lachée quelque peu 😉 On ne se laisse pas perturber et alors qu’enfin la pluie semble se calmer, nous rejoignons le second ravito spécial vin chaud avant le final vers l’écurie.

Allez, encore 4 km à un bon rythme et voilà enfin la salle des fêtes pour la fameuse soupe au fromage qui nous attends. Après un brin de toilette, nous revoilà encore attablés pour se réchauffer et terminer nos breuvages et les fameuses tant attendues crêpes de Nico sans oublier le flan de Steph. Après une bonne heure et demi à nous gaver, nous finissons par plier bagages sans avoir vu l’ombre du retour des Darks peut-être perdus dans la nuit !!!

Voilà une belle édition du Vert Luisant qui se termine. Bravo les maillons pour l’organisation, l’ambiance toujours impec et merci les copains pour le partage de cette belle et symphatique soirée nocturne. Mention spéciale à nos jeunes qui ont sacrément bien suivis, la relève est assurée.

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Sympathique ride de fin d’aprem avant le pluie dans des températures agréables et propices à l’exploration des vallons gersois. Nous décollons de Bonrepos en compagnie d’Alain, Bruno et Serge sans oublier les djeuns Martin et Quentin qui, ce soir, sont de la partie. le ciel est bien bas lâchant quelques gouttes histoire de maintenir une température fraîche …
Nous remontons rapidement la route pour prendre le single de la tuilerie en version remontante jusqu’au Tupé d’Empont ou nous retrouvons le bitume pour quelques centaines de mètres avant de bifurquer à droite sur la large piste forestière poussiéreuse lorsque une horde de motard déboule… Le ride se poursuit à travers champs sur le sentier d’un premier vallon largement labouré et limite praticable. Nous retrouvons ensuite du chemin plus roulant puis le bitume à l’entrée de Goudourvielle on nous marquons la pause afin que Quentin recolle aux wagons. La grimpette qui suit est bien physique dans les herbes et cailloux. S’en suit alors une alternance de bitume et de pistes ondulées en approche d’Empeaux puis de Saint Thomas juste effleurés pour l’occasion.
A Larroudé, la nature reprenant parfois ses droits, la trace devient plus physique avant de retrouver la fameuse et ancienne voie romaine pour une séquence ludique conclue en apothéose par le superbe single en sous bois annonçant l’écurie. Au final, 34 km de régalade bossue bien agréable et juste avant que la pluie ne s’invite … une fois attablés chez Bruno pour savourer la mousse d’après ride.  Merci les copains pour le partage et bravo les jeuns y avait quand même presque 700m de D+ ce soir !

En cette fin du mois de juillet, y a pas foule ce dimanche matin pour m’accompagner sur ce mix d’ondulations gersoises et singles boisés. Rdv matinal au centre de Pujaudran avec Bruno pour une trace reco version VTP. Dés la sortie du village, nous enquillons la dévalade dans le bois de la Gravette pour une première mise en jambes faite de monotraces boisées. Ca tournicote puis remonte dru après le passage du ruisseau vers la moutonette. Nous coupons à travers champs face aux vallons gersois peu contrastés par cette météo bien basse et bouchée. Nous longeons rapidement la 4 voies pour replonger dans le vallon à Cap du Bosc avant de remonter sur Sénibel et retrouver un circuit plus familier. Nous alternons alors bitume, pistes agricoles et quelques belles monotraces descendantes avant les sympathiques chemins vers Ségoufielle ou l’IGG retrouvée nous conduit vers le moulin de Pradères. Voilà la montée d’en Pic tant attendue pour basculer en haut à la chapelle et remonter encore vers le Castera sur de larges chemins herbeux.

Ouf, le Castéra se mérite et après la petite pause qui va bien, la dégringolade vers Lévignac ne se fait pas attendre longtemps. Nous rejoignons les bords de la Save, traversons le centre du village en remontée vers les Argiles en direction de Bouconne. Sentiers serrés, peu dégagés mais après quelques efforts, nous retrouvons enfin le bas du single du télégraphe qu’il va falloir enquiller à l’envers cette fois. Sur une trace bien connue, nous retrouvons ainsi les bords de la forêt alternant bosses, singles et tournicotages. Remontant le canyon, voilà l’arbre d’Alex puis la dernière transition bien garnie en ronces et orties ou je prends ma première boite sans gravité avant de retrouver le parking de Pujaudran, 40 km de ride et 700m de D+ plus tard.. Merci Bruno pour le partage de cette belle boucle variée, bien physique et les petits ajustements de trace validée !